L’on recherche, en consommant le lait de vache, l’apport de protéines et une minéralisation de l’organisme à travers le calcium qu’il contient. Nous vous soumettons quelques réflexions concernant ces idées reçues.
La caséine du lait de vache rendant la digestion correcte et complète de ses protéines très difficile, il faut cailler le lait (yaourts, fromages) pour rendre l’assimilation possible pour l’organisme humain.
Au-delà de 7-8 ans nous ne produisons plus de lactase, enzyme nécessaire à la digestion du lait, cela pouvant induire l’encrassement de l’organisme, l’intolérance au lait, des allergies et l’acidose lactique intestinale.
L’allergie à la lactose induit l’insuffisance rénale, perturbe la flore et abaisse le système immunitaire.
Pour évacuer les acides gras saturés que véhicule le lait, l’organisme forme des mucus, qui sont retrouvés sous forme d’encombrement dans les poumons et les sinus.
L’organisme humain ne peut absorber le calcium que si le rapport phosphore/calcium est de 1, alors que dans le lait de vache il est de 2/1, induisant une commande para-thyroïdienne de chasser le calcium des os et donc une déminéralisation.
Dans le lait stérilisé les vitamines et minéraux, par leur configuration ne sont plus accessibles à l’organisme. Dans le lait U.H.T. la qualité nutritive est nulle, les protéines sont dénaturés et modifiés et de ce fait très encrassant pour l’organisme, tout autant que les graisses du lait qui sont en majeure partie saturées.
Les laitages solubilisent les toxiques, contrairement à ce que l’on puisse croire, et de ce fait les font au contraire circuler dans l’organisme et rajoute au travail de filtration du foie et des reins.
La nourriture des vaches qui ne sont pas élevées au sein de l’agriculture biologique est dangereuse pour elles-mêmes : l’ensilage crée des vaches alcooliquesavec un foie cirrhosé.
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